La CEDEAO, qui suit attentivement l’évolution de la situation au Niger, "exige la libération immédiate du Président Mohamed Bazoum" qui "reste le Président légitime et légal du Niger" qu’elle reconnaît.
Même si dans la journée du mercredi 26 juillet, des militaires ont annoncé à la télévision nationale la destitution de Mohamed Bazoum et proclamé le Général Salifu Modi chef du gouvernement intérimaire, la CEDEAO a renouvelé sa "ferme opposition à tout changement du pouvoir politique par des moyens anticonstitutionnels".
Les militaires sont donc appelés à libérer Mohamed Bazoum et lui rendre le pouvoir "sans délai et sans condition".
Antonio Guterres, Secrétaire général des Nations Unies, a lui aussi appelé à "la libération du Président Bazoum avec effet immédiat et sans condition préalable".
Quant aux autorités du Burkina Faso, elles souhaitent un retour rapide à la sérénité et une "coopération plus étroite et souveraine" contre le terrorisme.
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