Kacou Kouadja Adom a saisi cette opportunité pour exprimer toute son appréciation pour la qualité de la collaboration qui existe entre le ministère de la Culture et de la Francophonie et le conseil des ambassadeurs arabes accrédités en Côte d’Ivoire. Un partenariat qui a abouti à la parfaite réalisation de ce projet.

"Je voudrais de la part de la ministre Kandia Camara, saluer cette initiative louable et réitérer l’adhésion totale de la Côte d’Ivoire à cet événement culturel", a-t-il souligné.  

"Ces journées représentent une occasion spéciale pour célébrer ensemble la richesse et la diversité de la culture arabe", a pour sa part indiqué Abdel Malek Kettani, le porte-parole du conseil des ambassadeurs arabes accrédités en Côte d’Ivoire.

Continuant sur sa lancée, il a souhaité que "ces journées culturelles permettent de faire découvrir notre patrimoine culturel et de renforcer nos cultures respectives, afin de mettre en valeur les aspects les plus saillants de nos spécificités".

Françoise Remarck, ministre de la Culture et de la Francophonie, par ailleurs marraine de la cérémonie, s’est quant à elle réjouie que la Côte d’Ivoire ait été choisie pour abriter cette première édition des Journées culturelles arabes, qui selon elle, célèbre "l’humanité, la fraternité et le vivre ensemble".

Elle a également souligné que les industries créatives et culturelles en tant que levier de développement local inclusif, ont un impact positif évident sur l’activité économique et sociale des pays et constituent un gisement d’emplois en particulier pour la jeunesse et pour les femmes.

Au menu des programmes, expositions d’œuvres d’art, présentation de mets culinaires, de vêtements et bien d’autres articles. Une soirée musicale animée par dix troupes artistiques, était prévu dans la soirée du mardi au palais de culture de Treichville.

15 pays ont répondu présent à l’appel des organisateurs de cet évènement. Parmi eux, on peut citer entre autres, Le Liban, le Maroc, l’Egypte et la Lybie, la Palestine, l’Arabie Saoudite, etc…

Ecrit avec l'Agence ivoirienne de presse (AIP)