Démarré depuis le 21 octobre, les GADA se tiennent à la Cocoteraie des Arts de Mondoukou à Grand-Bassam. Selon Jean-Paul Méhansio, le festival a pour objectif de mettre en valeur la richesse et la diversité des danses ivoiriennes, des danses patrimoniales et des danses contemporaines.
Orienté autour de la réflexion autour de la structuration d’un artiste chorégraphique et de l’utilité de la formation.
« La danse est un métier comme tout autre, pour ce faire il est impérieux pour le danseur de savoir se vendre afin que son talent soit reconnu et valorisé », a fait savoir le commissaire général.
Par ailleurs, il précise que la danse obéit à des codes dont certains danseurs ne maitrisent pas forcément, c’est en ce là que cette édition vient en point pour éclairer la lanterne de bons nombres de danseurs dans l’optique de leur permettre de vivre de leurs talents.
« Loin d’être considérés comme des parias de la société, la danse apporte la joie de vivre, le bien -être social, la santé en termes de vitalité, renforce les liens sociaux et bien d’autres », ajoute-t-il.
Entièrement dédié aux arts vivants, cette édition se veut être la rencontre de la musique, des cinéastes et bien d’autres.
Ateliers, concert, expositions, formations, bal poussière, maquis’arts, visites touristiques et projections de films sont les activités qui vont meubler cette édition, jusqu’au 29 octobre 2024.
Mis en place depuis 2019, les GADA veulent permettre aux danseurs de se fédérer autour d’une faitière, en l'occurrence la Fédération International de Danse, aux fins de cerner tous les aléas inhérents au professionnalisme.
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