La FESCI, principal syndicat du système éducatif ivoirien, a émis le désir de voir les enquêtes situer les responsabilités de ces drames qui ternissent la réputation de la première université de la Côte d’Ivoire.
Gnobrongi Gnaly Ange Jaurès a été retrouvé mort le mardi 10 janvier dernier dans la piscine du campus l’Université de Cocody. Quelques jours après cette découverte macabre, précisément, le samedi 14 janvier, le corps sans vie de Diabaté Ibrahim a été découvert, pendu au bâtiment U de l’université Félix Houphouët Boigny.
Suite à ces décès, la FESCI par l’entremise de son secrétaire général, Saint-Clair Allah dénonce les accusations sans aucun fondement, dont elle est victime sur les réseaux sociaux, où certains internautes, la présente comme étant, le commanditaire de ces drames.
Réagissant à son tour face à cette situation, Adama Diawara, Ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique, a promis à son tour que toute la lumière sera faite sur ces fait.
Avant de présenter ses condoléances aux familles des deux étudiants.
La Police nationale a ouvert des enquêtes sur ces deux drames qui ont créé l’émoi au sein de la communauté estudiantine et partant sur toute la Côte d’Ivoire.
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