Ces manifestations sont survenues suite à une série de doléances soumises à la présidence de ladite université auprès de laquelle la coordination de la FESCI n’a pu avoir gain de cause, après une rencontre le jeudi 12 janvier dernier.
A travers un communiqué, le premier syndicat scolaire "condamne avec la dernière énergie cette agression policière, présente ses vœux de prompt rétablissement à l’ensemble des blessés et autres victimes de traumatisme".
La FESCI revendique le "traitement des dossiers administratifs par la scolarité centrale de l’U-JLOG dans des délais raisonnables, l’intégration des bacheliers réorientés dans le circuit normal de l’U-JLOG comme obtenu du Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique (MESRS) lors de la grève nationale du 1er aout 2022", lit-on dans le communiqué.
Notons qu’une rencontre s’est tenue ce mercredi 18 entre le bureau national de la FESCI conduit par son secrétaire général Saint-Clair Allah, les autorités policières et le corps préfectoral de la région Haut-Sassandra.
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