« L’Afrique est en train de vivre une transformation économique, sociale et technologique, et l’enseignement supérieur et la recherche sont un pilier essentiel de cette transformation. Les programmes de renforcement des capacités et d’excellence académique que nous développons dans nos centres d’excellence contribuent directement à la croissance durable de nos pays », a déclaré le directeur de cabinet.
Il a par ailleurs insisté afin que toute la communauté universitaire et scientifique, puissent capitaliser sur ces opportunités pour assurer un meilleur avenir à nos nations.
En outre, il a souligné que la consolidation des acquis et la durabilité des institutions, ne sont pas des objectifs à court terme, mais des processus à long terme. Cela nécessite, a-t-il précisé, un engagement continu, une collaboration internationale renforcée, une mobilisation de ressources financières et humaines adéquates, ainsi qu’une adaptation constante aux évolutions mondiales en matière d’éducation et de recherche.
« Je vous encourage tous à maintenir la dynamique que nous avons créée ici. Continuons à partager nos expériences, à apprendre les uns des autres et à travailler ensemble pour renforcer nos institutions académiques. Nous pouvons surmonter les verrous qui se dressent devant nous, et nous pouvons exploiter les opportunités qui s’offrent à nous », a-t-il précisé.
Ouvert le 31 octobre dernier, cet atelier a réuni à Abidjan plus de 400 universitaires de 54 Centres d’excellence venus de 11 pays africains, entre autres la Côte d’Ivoire, le Burkina Faso, Djibouti, la Gambie, le Sénégal, le Ghana, le Nigeria.
Ils ont pu partager leurs expériences, leurs réussites, leurs succès, afin de consolider leur apport au développement de l’Afrique.
Tous les commentaires 0
CONNECTEZ-VOUS POUR COMMENTER
VIDEOS