«Ce partenariat vise à permettre aux femmes entrepreneurs, surtout celles sont qui sont dans le secteur informel de bénéficier d’une formation d’éducation financière particulière et d’un accompagnement d’une assistance technique », a indiqué la directrice générale de Fin’Elle, Pierrette Kouakou au terme de la signature.
La directrice d’ESP, Fadima Kané a relevé que les femmes entrepreneures africaines réinvestissent jusqu’à 90% de leurs revenus dans l’éducation, la santé et famille, ce qui selon la Banque africaine de développement (BAD) crée un écart de 42 milliards de financement.
Pour pallier à ce problème, elle entend au travers de ce partenariat, apporter “la bonne combinaison de financement et d’assistance technique, appelé capital intelligent”.
«Nous sommes convaincus depuis toujours du pouvoir des femmes à changer durablement le continent, et c’est pour cela que les femmes représenteront environ 54% des 400 entrepreneurs que nous accompagnons chaque année sur le continent à travers nos différents programmes », a-t-elle souligné.
Plus de 70% des femmes entrepreneures africaines font face à de nombreux obstacles d’accès aux services financiers. Outre l’accès au financement, l’accès à l’information et à l’assistance technique sont également des obstacles prédominants pour les Petites et moyennes entreprises (PME), détenues par des femmes en Côte d’Ivoire.
Créée en 2018, Fin’Elle est une filiale du groupe Cofina, dédiée à l’autonomisation des femmes entrepreneures. Elle compte plus de 17.000 clients.
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