M. N’zi a rappelé les nombreux défis auxquels la sous-préfecture est confrontée. Il a invité à éviter une accentuation de ces difficultés, faisant savoir que l’orpaillage clandestin a des conséquences désastreuses tant au plan social, sanitaire qu’environnemental.
Le sous-préfet a félicité les chefs de village qui ont su résister à la pression des "terroristes de l’environnement". Il a exhorté les chefs coutumiers à le tenir informé chaque fois qu’ils seront sollicités pour un problème d’orpaillage clandestin dans leurs localités.
Rappelant l’illégalité de l’activité d’orpaillage clandestin, l’administrateur civil a affiché sa volonté d’appliquer la loi dans toute sa rigueur, chaque fois que besoin se fera sentir.
L’orpaillage clandestin existe il y a bien longtemps en Côte d’Ivoire. Mais il s’est davantage développé ces deux dernières décennies, surtout après la crise politico-militaire de 2002 et celle post-électorale de 2011, touchant plusieurs régions du pays dont le N’zi.
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