Cette activité de sensibilisation, qui s’inscrivait dans le cadre de son projet intitulé : « L’école, un cadre d’apprentissage dans la non-violence », a porté sur une conférence publique sur le thème « Contribution du corps enseignant à la prévention et à la lutte contre la violence en milieu scolaire, notamment, la violence armée ».
Il s’agissait d’amener les enseignants à contribuer davantage à la réduction de la violence à l’école. Dans son exposé, le conférencier Raoul Adjobi, professeur de mathématiques de son état, a d’abord présenté aux participants les dangers liés à la violence en milieu scolaire, notamment, la violence armée.
Il a, ensuite, démontré que l’enseignant est en amont et en aval de la formation des apprenants. Par conséquent, sa contribution à la prévention et à la lutte contre les violences scolaires est plus qu’importante. « C’est l’enseignant qui forme l’élève, lui donne une éducation morale et psychologique. Donc, si l’enfant doit être sur le bon chemin pour devenir un bon citoyen, cela dépend de l’enseignant », a-t-il dit.
Aux côtés de l’animateur principal de cette conférence, le coordonnateur local des activités de RASALAO-CI, Dr. Pacôme Koffi, a invité les élèves à disposer de leurs manuels scolaires comme les seules armes qui feront d’eux de bons citoyens.
L’initiative de RASALAO-CI se présente comme une réponse aux récentes violences en milieu scolaire à Bouaké qui ont coûté la vie à l’élève, Coulibaly Samba, du collège privé Berger 2 de Bouaké.
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