Initiée par l’Agence universitaire de la francophonie (AUF) Côte d’Ivoire, en plus du panel, les participants ont eu droit à des informations sur les types de VBG, des dispositions du droit pénal en matière de viol et de tout type d’agression sur le genre.
Présente à cette rencontre, Jocelyne Bosson Oné, responsable de l’AUF Côte d’Ivoire, les a instruites sur les différents cas et comment ces violences peuvent nuire à la vie d’un être humain.
Elle a profité de l’occasion pour leur demander de s’armer de courage et à dénoncer toutes formes de violences dont elles seront victimes.
Pour sa part, Davila Kiki, présidente du CoDeF- UCI, s’est réjouie de la pertinence des panels précisant que chaque participant a été édifié sur les VBG et moralement préparé pour les combattre.
En Côte d’Ivoire, selon le ministère de la Femme, de la Famille et de l’Enfant, 3157 personnes survivantes de VBG ont été prises en charge par la plateforme de VBG dont 2674 femmes et filles, 55% des cas de viol pris en charge dans les délais de 72 heures, 85% des alertes de mariages forcés et 56% des alertes de mutilations génitales féminines gérées avec succès.
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