François Wongué, qui s’est imprégné de l’évolution de l’unité de production de manioc, a relevé les défis auxquels les femmes sont confrontées et les a invitées à chercher de nouveaux marchés afin de passer d’une unité semi-industrielle à une unité industrielle.
Kouakou Affoué Monique, présidente de la coopérative propriétaire de l’unité, ambitionne d’augmenter sa capacité de production en la faisant passer de 420 tonnes/an à 820 tonnes.
Mais pour y parvenir, elle envisage de diversifier la production des dérivés du manioc. L’objectif étant de conquérir le marché européen, après ceux de la sous-région, pour accroître leurs revenus.
Pour elle, l’apport du PA Psgouv a été bénéfique au fonctionnement de l’unité semi-industrielle. "Nous avons reçu une broyeuse, une essoreuse, un cuiseur, un four…", a-t-elle mentionné.
Cette dotation a contribué à réduire la pénibilité des tâches. "Notre environnement est sain. Nous ne sommes plus en contact avec la fumée. Cela nous améliore notre santé", a-t-elle dit.
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