En février 2025, un atelier technique s'est tenu à Banjul, en Gambie, réunissant des experts en infrastructures, des représentants des États concernés et des partenaires financiers tels que la Banque africaine de développement (BAD) et la Banque d'investissement et de développement de la CEDEAO (BIDC). Cette rencontre a permis de valider le tracé optimal de l'autoroute en fonction de critères techniques, économiques et environnementaux.
Le représentant de la CEDEAO, M. Rémi Sousso, a souligné que : « cette autoroute va transformer les interactions économiques dans la région et va renforcer la compétitivité sur le marché mondial ». Il a aussi montré l'importance de faciliter la libre circulation des personnes et des biens pour dynamiser le commerce intra-africain.
Dans les discussions, l’accent a été mis sur l'importance d'une approche durable qui intègre des solutions de résilience face aux changements climatiques, en conformité avec le Programme pour le Développement des Infrastructures en Afrique (PIDA).

De plus, la réussite du projet dépend également de l'implication des communautés locales et de la mobilisation de financements publics et privés.
Ce projet s'inscrit dans le cadre plus large de la Route Transafricaine (TAH7), qui relie le Cap-Vert à Lagos au Nigéria, avec une extension prévue vers l'Afrique centrale et orientale jusqu'à Mombasa au Kenya (TAH8). Cette initiative réaffirme la dynamique de développement des infrastructures africaines, en lien avec le Programme de développement des infrastructures en Afrique (PIDA) de l'Union africaine.
Tous les commentaires 0
CONNECTEZ-VOUS POUR COMMENTER
VIDEOS