Dans un communiqué de presse dont RTI info a reçu copie le lundi 1^er mars 2021, la Banque mondiale organisera le mercredi 03 mars prochain, un Webinaire autour du thème "Pourquoi investir en faveur des femmes et des filles est plus essentiel que jamais", cette rencontre se tiendra dans le cadre, du Forum mondial du Projet pour le capital humain qui réunira les responsables gouvernementaux du monde entier.

Cette session Webinaire, mettra l’accent sur les témoignages d’experts et de personnes ayant une expérience directe, permettant d’expliquer pourquoi il est plus important que jamais de préserver et de renforcer l’autonomisation sociale et économique des femmes et des filles à court et à long terme.

En outre, les décideurs et les partenaires de développement partageront également les enseignements tirés des crises précédentes, des initiatives destinées à protéger les investissements dans le capital humain et des moyens utilisés pour faire avancer, la mise en œuvre de ce programme de développement important, dans un contexte de crise sanitaire mondiale.

Si en Afrique subsaharienne, il est démontré qu’il est fondamental d’investir dans l’éducation, la santé et les opportunités économiques des femmes et des filles, il n’en demeure pas moins qu’au cours de ces dernières décennies, les pays de la région ont fait des progrès considérables sur un certain nombre d’indicateurs importants pour l’autonomisation des femmes et des filles, notamment, les réformes juridiques sur l’âge minimum du mariage et la violence basée sur le genre.

C’est dans cette optique que la Banque mondiale a lancé en 2019, le Plan pour le Capital humain en Afrique. Objectif, investir davantage dans sa population, stimuler les retombées positives des gains de capital humain et renforcer, de façon durable, la prospérité de la région.

Ainsi l'autonomisation des femmes et des filles devient l'un des principaux aspects du développement, bien qu’il soit fondamental d’investir dans l'éducation, la santé et les opportunités économiques des femmes et des filles, pour réaliser le potentiel de l’Afrique par le biais de son capital humain et stimuler la croissance économique.

Cependant, face à la crise mondiale de la Covid-19, les femmes et les filles restent particulièrement vulnérables, une pandémie qui a exacerbé les écarts et les inégalités entre les sexes.