Onu/Otan
Le secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres a condamné "sans équivoque cet acte de violence politique".
"La violence politique n'a aucune place dans nos démocraties. Les alliés de l'Otan se tiennent unis pour défendre notre liberté et nos valeurs", a déclaré de son côté sur X le secrétaire général de l'Otan, Jens Stoltenberg.
Amériques
"Tout le monde doit condamner" ces tirs, a déclaré le président américain Joe Biden, qui a parlé samedi soir avec son rival à l'élection présidentielle de novembre.
Le dirigeant brésilien Luiz Inacio Lula da Silva a appelé les défenseurs de la démocratie et du dialogue politique à "condamner fermement" l'attaque.
"En tant que pays ayant souffert de la violence, nous réaffirmons qu'elle n'a pas sa place dans le débat politique et électoral", a déclaré le gouvernement colombien.
"Malgré nos profondes divergences idéologiques et politiques, la violence, d'où qu'elle vienne, doit toujours être rejetée par tout le monde", a souligné le président bolivien Luis Arce.
- Europe -
Pour le chef de la diplomatie européenne Josep Borrell, "une fois encore, nous sommes témoins d'actes de violence inacceptables contre des représentants politiques".
La présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen, "choquée par la fusillade", a déclaré que "la violence politique n'a pas sa place dans une démocratie".
Le chancelier allemand Olaf Scholz a qualifié d'"ignoble" la tentative d'assassinat, estimant que la violence politique constitue une menace pour la démocratie.
Pour le président français Emmanuel Macron, "c'est un drame pour nos démocraties. La France partage le choc et l'indignation du peuple américain".
Le Premier ministre britannique Keir Starmer a fait part de sa consternation: "la violence politique sous quelque forme que ce soit n'a pas sa place dans nos sociétés".
Son homologue hongrois Viktor Orban a envoyé "pensées et prières" à Donald Trump "en ces heures sombres".
La cheffe du gouvernement ultraconservateur italien Giorgia Meloni a exprimé "sa solidarité", demandant que "le dialogue et la responsabilité aient le dessus sur la haine et la violence".
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a déclaré qu'"une telle violence n'a pas de justification et aucune place dans ce monde".
Pour la Russie, qui a également condamné l'attaque, elle n'est pas une surprise. "Après de nombreuses tentatives pour écarter le candidat Trump de l'arène politique en utilisant d'abord des outils juridiques (...) il était évident pour tous les observateurs extérieurs que sa vie était en danger", selon le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov.
Le Premier ministre grec Kyriakos Mitsotakis s'est dit "consterné", estimant que "la violence politique est inacceptable dans nos sociétés démocratiques".
La tentative d’assassinat de Trump est un "moment de choc non seulement pour l'Amérique, mais aussi pour l'ensemble du monde libre et démocratique", a estimé le chef de l'Etat polonais Andrzej Duda.
Son homologue turc, Recep Tayyip Erdogan, a condamné fermement "la tentative d'assassinat contre le 45e président et candidat à la présidence des Etats-Unis".
- Asie -
Le président chinois Xi Jinping a exprimé dimanche "sa compassion et sa sympathie" à Donald Trump. "La Chine suit avec attention la situation relative à la fusillade dont a été victime l'ex-président Donald Trump", a indiqué un porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères.
Le Premier ministre japonais Fumio Kishida a appelé à "rester fermes face à toute forme de violence qui défie la démocratie".
Son homologue indien Narendra Modi s'est dit "très inquiet". "Je condamne fermement cet incident. La violence n'a pas sa place en politique et dans les démocraties", a-t-il dit.
Quant au Premier ministre australien Anthony Albanese, il a qualifié de "préoccupante" cette attaque, exprimant son soulagement de savoir M. Trump sain et sauf. Pour lui, "la violence politique sous toutes ses formes (n'est) jamais acceptable dans nos démocraties".
Le président philippin Ferdinand Marcos s'est déclaré soulagé que l'ancien président Donald Trump "se porte bien".
- Proche-Orient -
"Nous prions pour sa sécurité et son prompt rétablissement", a écrit le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu.
Dans un deuxième temps, à l'issue d'une réunion du cabinet israélien dominée par la tentative d'assassinat de Donald Trump, M. Netanyahu a déclaré avoir lui-même reçu "un flot de menaces explicites de meurtre".
Le président égyptien Abdel Fattah al-Sissi a souhaité que la campagne électorale américaine se poursuive dans "une atmosphère pacifique et saine".
Le ministère des affaires étrangères du Qatar a déclaré qu'indépendamment des motifs de l'attaque, elle montre "la nécessité d'adopter le dialogue et des moyens pacifiques et d'éviter la violence politique et la haine pour résoudre les conflits à tous les niveaux".
- Afrique -
"L’attaque est detestable et dépasse les normes démocratiques. La violence n'a pas sa place en démocratie", a réagi sur X Bola Ahmed Tinubu, le président du Nigeria, pays le plus peuplé d'Afrique qui "est en ce moment solidaire des États-Unis".
"Je suis horrifié" par cet "acte odieux", a dit de son côté sur X le président sénégalais récemment élu, Bassirou Diomaye Faye : "les valeurs démocratiques universelles et la liberté de choix du peuple américain ne doivent pas être réduites au silence".
- Vatican -
Le Saint Siège a exprimé sa "préoccupation" à la suite de cette attaque qui "blesse les personnes et la démocratie".
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