« L’ambition est de s’inscrire définitivement en bonne place, dans l’agenda culturel et audiovisuel de notre continent », a souhaité Jean Martial Adou, commissaire général du SICA. Pour lui, c’est le lieu de rencontre entre producteur et distributeur de contenu, pour établir des engagements d’affaires.
Par ailleurs, il ne manque pas de préciser que c’est aussi un cadre de rencontre entre professionnel de création de contenu audiovisuel.
« L’objectif du SICA est de stimuler le dynamisme de l'interaction entre les acteurs du complexe écosystème audiovisuel pour en faire une véritable industrie créatrice de richesse et d’emplois. Il vise à être également un marché important de l’audiovisuel », a fait savoir Amadou Coulibaly, ministre de la Communication.
Lors de son discours d’ouverture, il a profité de l’occasion pour mettre un accent particulier sur la contribution du numérique dans l'écosystème cinématographique. Selon lui, le numérique a révolutionné la manière dont les contenus sont produits, diffusés et consommés.
En outre, il précise que cette révolution est porteuse de croissance, car elle offre d’importantes opportunités de création et d’innovations. « C’est un secteur dynamique, qui peut contribuer énormément à la création de richesse et doit être financé comme toutes les autres industries », a-t-il soutenu.
Cette cérémonie officielle était aussi marquée par la présence, de Jean-Marc Yacé, maire de la commune de Cocody ; des ministres de la Culture, Françoise Remarck et Siandou Fofana du Tourisme et de nombreux invités, spécialistes du contenu audiovisuel.
Durant 2 jours, ce salon va accueillir plusieurs panels, rencontres BtoB et autres conférences, pour mieux faire découvrir, les métiers de l’audiovisuel.
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