Selon lui, parler de bonne gouvernance implique un État actif, une société mobilisée, des citoyens éclairés, un secteur privé efficace etc. Et la responsabilité revient à l’Etat de rendre tout cela effectif. Ce qui va contribuer à une amélioration ou à une démocratisation de la gouvernance.
"Chaque citoyen doit s’engager activement dans la gestion des affaires publiques. Les caractéristiques de la bonne gouvernance sont la reddition des comptes, la transparence, une gouvernance participative, un état de droit, la recherche du consensus, l’efficacité et l’efficience, l’équité et l’inclusion. Et enfin, la lutte contre la corruption", a-t-il évoqué.
Par ailleurs, ce sont 20 acteurs des Organisations de la société civile (OSC) qui ont participé cet atelier pour la constitution, la première du genre, du réseau des auditeurs des politiques publiques.
Ils ont été outillés aux mécanismes de mise en œuvre de contrôle citoyen de l’action publique, à l’audit citoyen et l’évaluation des politiques publiques, à la rédaction d’un rapport alternatif.
Il faut noter que cet atelier s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre du projet d’Appui à la Bonne Gouvernance par le Contrôle Citoyen (PAGoC), par la Fondation Friedrich Naumann en collaboration avec ses partenaires, l’Ambassade de Suisse et le ministère ivoirien de le Promotion de la bonne gouvernance et de la lutte contre la corruption.
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