Ce rapport fait état  entre autres de diverses requêtes portant sur des violations des Droits de l’Homme pour lesquelles, conformément à ses attributions, le Conseil a mis en œuvre son mécanisme de traitement des requêtes.

« En 2021, le CNDH a enregistré 1834 requêtes enregistrées. Parmi ces requêtes, nous avons dénombré 2033 cas d’atteintes ou de violations des Droits de l’Homme selon les différents types de droits », a fait savoir Mme Sangaré.

La présidente du  CNDH a expliqué aux sénateurs qu’au terme de l’analyse de l’état des Droits de l’Homme en Côte d’Ivoire, le conseil a formulé des recommandations qui prennent  en compte des recommandations contenues dans les rapports annuels précédents.

Certaines de ces recommandations  demeurent encore d’actualité et portent sur des faits ou phénomènes comme les enfants en rupture sociale, les violations et atteintes aux droits de l’Homme en lien avec les déguerpissements et  les questions des femmes et des enfants.

« Notre  mandat de promotion des Droits de l’Homme ne peut être mis en œuvre sans l’appui du Sénat, c’est pourquoi, je vous réitère le plaidoyer du CNDH en vue de l’accroissement des ressources liées à la mise en œuvre de notre mandat », a plaidé l’hôte des sénateurs.