Cette campagne a permis aux citoyens ivoiriens de procéder à une première inscription ou à une mise à jour de leurs informations sur la liste électorale.

Les documents exigés pour une première inscription incluaient une carte nationale d’identité (CNI) valide, un récépissé d’enrôlement délivré par l’ONECI, ou un certificat de nationalité.

Par ailleurs, une innovation notable a marqué cette opération : il était possible de demander la radiation des personnes décédées ou ayant perdu leurs droits de vote dès la phase de recensement. Cette mesure visait à garantir une liste électorale plus fiable et actualisée.

Le président de la CEI, Ibrahime Coulibaly-Kuibiert, s’exprimant le 13 novembre dernier sur les avancées de cette révision, a salué le climat d’échanges constructifs avec les partis politiques. Il a réitéré l’engagement de la CEI à organiser des élections transparentes et inclusives pour le bien-être de tous les Ivoiriens.

Avec plus d’un million de requérants enregistrés, cette phase constitue une étape clé dans le processus électoral.