La plupart de ces lotissements non validés sont cependant bâtis et habités, a observé M. Dro, qui a révélé ces informations lors d’une rencontre avec l’ensemble des parties prenantes aux processus.
"Un travail de validation est en cours, concernant ceux qui sont habités à 70 %", a-t-il concédé, appelant les différentes parties prenantes à le faciliter en produisant les documents nécessaires.
Le directeur régional qui animait une séance d’information et de sensibilisation sur la bonne procédure de lotissement, les documents à produire et les personnes habilitées à y procéder, a appelé à l’arrêt de toutes les initiatives en cours qui ne respectent pas les règles, car le temps de la répression surviendrait "inévitablement".
"Ce qui se passe actuellement à Abidjan pourrait arriver également à Daloa", a appuyé le secrétaire général de préfecture, Gbéï Képo Emmanuel, qui représentait le préfet à la rencontre.
Il y a environ un an, a-t-il rappelé, le préfet a pris un arrêté pour mettre un terme aux lotissements anarchiques, mais ils ont continué dans la clandestinité, a avoué M. Gbéï.
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