L’objectif général de cette rencontre était de susciter l’engagement des autorités, des communautés et des partenaires techniques et financiers afin de faire de la santé mentale une priorité nationale en Côte d'Ivoire. 

60 000 personnes souffrent de problèmes de santé mentale, tandis que près de 90 000 patients sont en camps de prières.

À cet effet, l’Organisation Mondiale de la Santé s’est engagée dans les différents états à « faire de la santé mentale un droit humain universel ».

En outre, avec le Ministère de la Santé en Côte d’Ivoire, s’est aussi lancé dans la promotion de la santé mentale partout et à tous les âges de la vie.

La DC-PNSM a entrepris plusieurs objectifs spécifiques dans son plan stratégique, parmi lesquels l’acquisition du nouveau siège pour une meilleure implémentation des initiatives coordonnatrices en santé mentale et soutien psychosocial, notamment avec les adolescents et les jeunes.

Selon le professeur Médard Koua Asseman, directeur-coordonnateur du Programme national de la santé mentale (PNSM), "60.000 personnes souffrent de la santé mentale" :  a-t-il indiqué avant de poursuivre '' Nous nous engageons aujourd’hui à briser les stigmates qui entourent la santé mentale ''.

Comme solution proposée pour prévenir cette maladie, il faut avoir une hygiène de vie, identifier et intervenir précocement en cas de souffrance psychologique et enfin, rechercher l’information et les ressources en santé mentale, a-t-il ajouté.

Notons que le PNSM a été créé le 21 juin 2007 et a pour mission de permettre à chaque Ivoirien de jouir d’une productivité socioéconomique durable dans tous les secteurs d’activités.