« Ces assises sont une plateforme unique pour collaborer, réfléchir et définir des stratégies adaptées aux défis technologiques du continent », a fait savoir Mohamadou Diallo, commissaire général des ATDA.

Il affirme, que cette édition va mettre en lumière les efforts des gouvernements africains qui, comme la Côte d’Ivoire, intègrent l’IA et le cloud dans leur plan de développement national.

Il ajoute que les technologies telles que le Cloud et l'IA, constituent des leviers essentiels pour résoudre les défis économiques et sociaux du continent.

« Le choix de la Côte d’Ivoire parce que le pays intervient comme le centre des échanges économiques en Afrique de l’Ouest, s’affirme comme un hub technologique majeur, ayant placé le numérique au cœur de sa stratégie de développement », a expliqué le commissaire général.

Le pays dispose d'infrastructures modernes et d'un écosystème numérique en plein essor, avec une concentration croissante de start-ups, de centres de recherche et d’entreprises technologiques. Des initiatives ambitieuses sont également déployées afin d'élargir l’accès aux technologies, favoriser l’innovation et dynamiser la croissance de l’économie numérique.

A en croire Olivier Avoa, directeur général de la transformation numérique et de la digitalisation, l’IA et le cloud offrent des opportunités sans précédent, mais leur adoption pose aussi des défis majeurs.

« L’intelligence artificielle n’est pas juste une innovation, elle représente un levier stratégique pour transformer nos économies, optimiser nos services publics et relever des défis complexes », a-t-il déclaré.

Pour lui, l’Etat de Côte d’Ivoire s’est engagé dans cette dynamique, qui illustre l’importance croissante du cloud et de l’IA dans la modernisation des économies africaines. Aussi, qui participe au renforcement de sa compétitivité à l’échelle mondiale, ouvrant des perspectives majeures dans des domaines comme l’agriculture, la santé, la finance et l’éducation, avec des impacts positifs pour des millions d’ivoiriens.

Durant deux jours, plusieurs questions seront abordées par de nombreux experts, parmi lesquels des Ministres, des leaders de l’AfricaTech, des grandes entreprises, ainsi que des acteurs publics et privés.