Il est reproché à TikTok son manque de rigueur quant à la vérification de l’âge de ceux qui s’inscrivent sur le réseau social, bien que la plateforme interdise aux mineurs de moins de 13 ans de créer un compte.

La Commission européenne a également annoncé en décembre une enquête sur X, ex-Twitter, concernant le respect des normes prônées par le Digital Services Act.

Cette enquête diligentée contre TikTok vient s’ajouter à des mois compliqués sur le plan de la communication.

En effet, après les plaintes venues d’Occident en 2022, plusieurs pays, aussi en Afrique, ont commencé à exiger du réseau social plus d’efforts dans divers domaines. Ce sont entre autres, le Kenya, le Maroc et le Burkina Faso qui ont critiqué TikTok pour diverses raisons en se montrant plus méfiants envers les réseaux sociaux.

L’enquête annoncée par la Commission européenne peut par exemple relancer les débats sur le réseau social en RDC où le régulateur de l’audiovisuel a critiqué, en juillet 2023, TikTok pour la présence de contenu immoral sur sa plateforme.

Ecrit avec l'Agence Ecofin